Mon parcours d’étudiante à l’étranger : récit d’une brillante étudiante Ivoirienne

Fatima Konaté est une jeune et brillante étudiante ivoirienne qui a choisi d’aller étudier à l’étranger. Comme beaucoup d’autres jeunes Africains, Fatima nourrissait le rêve de devenir une grande femme d’affaires et d’impacter l’Afrique. Après avoir suivi ses études secondaires à Enko Riviera en Côte d’Ivoire, elle part au Canada pour poursuivre le cycle supérieur. 

Fatima Konaté partage avec nous son expérience, du processus d’admission dans une université prestigieuse à son adaptation dans un nouvel environnement.

Réverler son potentiel

Fatima, peux-tu nous parler de toi ?

Je m’appelle Fatima Konaté, et j’’étudie actuellement la finance et le commerce à l’Université de York au Canada. J’ai choisi ce programme, car j’ai toujours été intéressée par les affaires et c’était presque naturel pour moi de suivre mes études supérieures dans ce domaine. J’ai fait mes classes de DP1 et DP2 (équivalents de la 1re et Terminale) à Enko Riviera où j’ai étudié des matières comme l’économie, les mathématiques, etc. qui m’ont vraiment préparée à mon programme universitaire et à mes aspirations professionnelles.  

Un tremplin vers les meilleures universités du monde

Comment as-tu été admise à l’Université de York ?

Enko Education à travers son service d’admission et Knowledge for College (série de webinaires animés par les Conseillers en admissions universitaires d’Enko Education et des experts internationaux) a joué un rôle majeur dans mon processus d’admission. Shelly Jain, directrice adjointe chargée des admissions universitaires à Enko Education, m’a apportée son soutien dans tous les aspects du processus de candidature à l’université de York notamment la constitution du dossier, y compris pour les bourses d’études. Grâce à Enko, j’ai eu la chance d’obtenir une bourse d’études de 6 000 dollars canadiens. Mais le soutien d’Enko ne se limitait pas là. Mme Shelly m’a également aidé dans les démarches pour l’obtention d’un logement et pour plein d’autres choses.

As-tu passé un test de langue comme le TOEFL avant de voyager ?

Non, je n’en ai pas eu besoin. Avant de m’inscrire à Enko, je ne maîtrisais pas vraiment l’anglais. Pendant les deux années que j’y ai passées, j’ai appris à parler Anglais couramment. Et quand l’université a vu dans mon dossier que je suis une ancienne élève d’Enko, elle n’a pas demandé de test d’Anglais. En effet, Enko met un point d’honneur sur l’apprentissage des langues étrangères surtout l’anglais.

Accepter la différence

Comment as-tu réussi à t’adapter dans un nouvel environnement?

Le Canada est un pays ouvert où l’on trouve des gens d’origines culturelles différentes. Le pays est diversifié et super intéressant, donc je n’ai eu aucun mal à m’adapter. De plus, mon passage à Enko Education m’a réellement préparée à mieux gérer le multiculturalisme. À Enko Riviera, j’avais des camarades de classe et des professeurs d’origines culturelles diverses et l’école sensibilise vraiment à ces questions. 

Ici au Canada, on trouve beaucoup d’étudiants internationaux, et du coup on s’y sent comme chez soi. Il y a même de fortes chances que vous rencontriez des personnes que vous connaissez. Par exemple, certains de mes amis d’Enko Riviera étudient également ici.

Quels sont les avantages d’étudier à l’étranger ?

Venir au Canada a été très bénéfique pour moi, notamment pour ma carrière. J’ai toujours eu une vague idée de l’entreprise que je voulais créer avec une approche spécifique. Mais en venant ici, j’ai vu des gens créer le même type d’entreprise avec une perspective différente qui est bien meilleure que la mienne. Et j’ai vraiment l’intention d’utiliser tout ce que j’ai appris ici pour développer mes projets d’entreprise.

Comment ton expérience à l’étranger a-t’elle contribué à ton développement personnel ?

Sortir de sa zone de confort n’est pas chose facile. Je suis arrivée ici alors que j’étais très jeune. Sans parents à mes côtés, je devais me débrouiller seule. Je suis devenue mature très tôt. J’ai appris à me concentrer sur mes études et sur les choses qui comptent vraiment. Étudier à l’étranger aide à devenir responsable et mature. 

Quels ont été les défis que tu as dû relever ? 

La nourriture a été l’une des premières difficultés que j’ai rencontrées lorsque je suis arrivée ici. D’où je viens en Afrique de l’Ouest, nous mangeons beaucoup de repas cuisinés. Or, je ne pouvais pas cuisiner ici. De plus, le climat était assez rude au début. Mon premier hiver ici était loin d’être l’expérience la plus agréable. Mais au fil du temps, j’ai pu m’adapter. 

Étudier à l’étranger, est-ce une expérience marquante ?

Oui, bien sûr ! Les études à l’étranger m’ont permis de voir le monde différemment. C’est une expérience qui a changé ma façon de percevoir et d’interagir avec les gens. Cela m’a aidé à devenir plus ouverte d’esprit. J’ai commencé à comprendre les personnes qui m’entourent et à éviter de les juger.

Etes-vous inspiré par l’histoire de Fatima ? Si, comme elle, vous rêvez d’étudier à l’étranger, rejoignez un programme de l’IB (baccalauréat international) et bénéficiez d’un cursus d’enseignement international. 

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