Découvrez les 5 astuces pour entrer dans une Ivy league depuis le Cameroun ! La 3ème va vous surprendre…
Dakar, 21 Juillet 2017 – Connaissez-vous les Ivy League Américaines ? Le top 100 du Classement de Shangai ? Les meilleures universités du monde entier ? Rêvez-vous d’y accéder, ou d’y inscrire votre enfant ?
On le sait tous : ces universités sont ultra sélectives. Elles ne veulent dans leurs rangs que la crème de la crème, cette fine tranche de la population destinée à un avenir grandiose; leur diplômés deviennent entrepreneurs à succès, patrons de multinationales ou même présidents de la république.
Et si ces universités n’étaient pas aussi inaccessibles qu’elles le paraissent ?
“Qui ne tente rien n’a rien”. Le dicton est bien connu, et pourtant très peu appliqué. Avez-vous tenté de vous inscrire à ses universités ? “Non, quelle idée! Ils ne connaissent même pas le nom de mon pays!” Et il est vrai que le processus d’admission pour intégrer ces universités peut s’avérer long et fastidieux, et qu’elles ont souvent une faible connaissance des diplômes nationaux africains.
Fred, étudiant Camerounais de 17 ans, a osé rêver, et s’est donné les moyens d’atteindre son rêve : intégrer une université de l’Ivy League. Aujourd’hui, il est le premier Camerounais admis à Yale depuis plus de 15 ans et a accepté de nous révéler les 5 astuces pour y arriver. Soyez attentifs, ce n’est pas impossible, vous le verrez !
1 – “Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait.”
Il faut se mettre dans le bon état d’esprit. Ne pas s’interdire de rêver et d’avoir de l’ambition. J’ai toujours cru au fond de moi que chacun a un grand rôle à jouer sur Terre, alors il n’y a pas de raison que je ne puisse pas trouver le mien ! Mes amis au collège ont toujours pensé que j’étais sur mon nuage, et que je rêvais beaucoup trop. Et aujourd’hui je vais à Yale, comme 5 anciens présidents des États-Unis. Ai-je eu tort de rêver ? À vous de juger.
2 – Avoir le soutien familial
Il n’y a pas de doute : mes parents ont joué un rôle incroyable dans mon éducation. Tout d’abord, par les valeurs qu’ils m’ont transmises : chez moi, on ne gagne rien qu’on ne mérite pas. J’ai très vite appris la valeur travail et j’ai appris à mesurer l’importance d’enrichir sa culture. En somme, je n’ai pas réussi tout seul.
3 – Choisir la bonne école
C’est l’étape la plus difficile puisque le collège et le lycée jouent un grand rôle dans les processus d’admission. J’avais déjà de l’ambition et l’envie de réussir : je savais où aller mais je ne savais pas comment. Puis, quand je cherchais un meilleur lycée pour me donner les moyens de mon ambition, j’ai découvert Enko Education qui ouvrait alors la première école Baccalauréat International au Cameroun : Enko La Gaieté International School. J’ai sauté le pas et me suis inscrit dans les rangs de la toute première promotion. Et je n’ai jamais regretté mon choix. J’y ai trouvé non seulement une formation complète et exigeante, qui m’a parfaitement préparé à la vie universitaire et m’a accompagné dans le processus d’admission, mais j’y ai aussi appris à m’ouvrir au monde et à ne pas avoir peur de prendre des risques.
4 – Établir une stratégie universitaire : quelle université ? et à quel prix ?
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, avoir une bonne formation et de bonnes notes ne suffit pas pour intégrer une école du Top 100 mondial. Plusieurs autres critères entrent en compte.
Il y a tout d’abord la reconnaissance du diplôme : Enko Education dispense le programme du Baccalauréat International qui est reconnu par 95% de ces universités, c’est notamment pour ça que j’ai choisi de les rejoindre.
Ensuite il faut savoir suivre les processus d’admission très complexes de ces grandes universités. Il faut pouvoir s’entourer de personnes expérimentées avec les bons conseils : et ça, je l’ai trouvé dans le Programme d’Orientation Universitaire d’Enko Education.
Enfin, il faut savoir quelles bourses existent, quelles fondations en offrent, etc… Et là encore, il faut connaître le milieu de l’éducation internationale. Enko Education m’a beaucoup aidé sur ce point ! J’ai obtenu grâce à Enko bénéficié d’une bourse de 92% pour financer mes études, soit plus de 100 millions de FCFA !
5 – Se donner à 100 %
C’est beau tout ça, mais comme le dit un proverbe oriental : “Le travail est le fruit du bonheur”. J’ai beaucoup travaillé, beaucoup beaucoup. Mais j’ai appris à aimer ça, à me donner à 100%, à apprécier le challenge. La formation IB m’y a notamment beaucoup poussé : on a beaucoup de devoirs et de travail à rendre, mais on nous explique toujours pourquoi on le fait, dans quel but. Résultat : j’ai développé mon esprit critique et appris des méthodes pour être efficace dans mon travail.
Et maintenant, à vous de jouer ! Le groupe Enko Education a deux écoles au Cameroun : Enko La Gaieté International School à Yaoundé et Enko Bonanjo International School à Doula. Ces deux écoles sont membres du réseau panafricain Enko Education qui a pour mission d’accroître l’accès des jeunes africains à hauts potentiels comme Fred aux meilleures universités du monde.
Pour plus de renseignements, contactez-nous : httpss://goo.gl/vrjdBS
[su_button url=”httpss://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfv6Cre5qaSAmZOpCEB5-pZAaHJmx6_H5sPZT3Is_opsno8hw/viewform?usp=sf_link” target=”blank” style=”flat” background=”#647228″ color=”#ffffff” size=”7″ wide=”yes” center=”yes” icon=”icon: map-marker” icon_color=”#ffffff” text_shadow=”0px 0px 0px #000000″]Télécharger le classement de Shanghai 2017[/su_button] [optinform]Chargement en cours…